Il n’y a pas d’option de financement propre à la franchise. Ainsi pour financer une activité, les entrepreneurs ont recours à divers techniques de subvention pour la conception d’entreprise.
Les modalités du prêt bancaire
Pour concevoir une société en franchise, un entrepreneur effectue un prêt bancaire, même s‘il possède un apport propre convenable, afin de compenser la somme globale de son placement. Il faut savoir que des établissements bancaires se spécialisent dans ce type de financement au profit des emprunteurs postulants à la franchise, pourvu qu’ils présentent de solides documents financiers pour s’assurer de l’efficacité de leurs gages. Même si les banques françaises accueillent convenablement les franchisés, elles demeurent vigilantes face au profil des demandeurs. L’attribution de crédits est assujettie à des critères précis tels que la caution privée, le montant sollicité, le modèle d’emprunt, le CA envisagé, et le prévisionnel d’exploitation.
L’importance du patrimoine pour un prêt
Le capital du solliciteur à la franchise est un critère primordial dans la fondation d’une firme ainsi que dans l’acceptation de sa requête d’emprunt. Une mise de départ crédible et une contribution de 30 à 50 % de la somme du placement composent une caution individuelle pouvant aider le futur franchisé pour développer en sécurité sa firme. Il peut se permettre de négocier les modalités de son prêt auprès du banquier pour conclure son projet. Les banques traditionnelles concourent également à la subvention des entreprises en phase de création de franchise via la remise d’un prêt professionnel appelé crédit entreprise. Ce dispositif est octroyé sous certains principes, plus particulièrement, la crédibilité du concept et le montant de l’apport personnel qui doit dépasser les 20 % du montant du placement. Il s’agit de crédit additionnel employé exclusivement pour doubler son capital et répondre aux exigences principales du lancement de la société tel que l’équipement, les locaux, le fonds de roulement.